87 : vanités

Le vieux cimetière abandonné de Boissy-aux-Cailles. Le bout du monde est parfois très proche, isolé, au bout d'une petit route qui serpente au milieu d'antiques champs incultivés depuis longtemps.


Un coin perdu qui met en joie, malgré les apparences !
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6 commentaires:

Anonyme a dit…

Eh bah oui, mais je pense que paradoxalement, un cimetière abandonné, c'est joyeux. Parce que ça veut dire que les vivants autour ont autre chose à faire que de s'occuper de leurs morts :)
On en a vu un chouette du côté de Bonnieux aussi.
(J'espère que tes images de cimetière paisible vont finir par m'endormir, parce qu'à 03:20, ça commence à bien faire, l'insomnie !)

27.6.08
Anonyme a dit…

brrrrrrrrrrrrrrrrrrrr

27.6.08
Anonyme a dit…

Boissy-aux-Cailles ? C’est où ça ? J’aimerais savoir où exactement se trouve…Lille ? Paris ? Essonne ? Une petite attention a la structure territoriale où cet endroit s’inscrit serait intéressant !! De plus, on valoriserait plus le lieu !!

29.6.08
Anonyme a dit…

ah les vieux cimetières, surtout les cimetières marins, celui de Menton par exemple; "Alatac" devrait y aller, pour que nos coins secrets ne soient pas envahis. Je partage le point de vue de Clo sur les cimetières, mais ne pas y aller me donne parfois des remords. Cela ne m'empêche pas de penser à" nos chers disparus"

29.6.08
roch a dit…

clo => ton lien morbide ne fonctionne pas ...

ju => non, non, il faisait chaud !

alatac => c'est à qq km de st éloi, on t'emmène quand tu veux !

mam => celui de Menton est superbe, c'est vrai, il donne trop envie d'être mort et enterré !

29.6.08
Anonyme a dit…

ah ! le cimetière de Boissy aux Cailles où je rêve d'y être enterré : sur un vieux char (des champs) avec ses tentures de deuil tiré par un cheval tout de noir vêtu. Et les veuves éplorées en résilles noires sous leurs voilettes et le front humides par le soleil qui tape songent à l'après-cérémonie en se disant quel vieil emmerdeur avec ses volontés décadentes.
Mais erreur de destination je parle du nouveau cimetière tout là-bas au bout du chemin.

1.7.08

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