On peut imaginer une doña Inès, un joli peigne retenant son chignon bien tiré, main gauche négligemment posée sur la rambarde à côté de sa mantille, main droite tenant l'éventail derrière lequel ses yeux noirs lancent un regard que vous jugerez assassin si vous êtes une femme, enjôleur si vous êtes un homme !Remarquez comme les dessous de ces balcons sont très souvent carrelés ; certains sont même l'objet de décorations singulières.
Quant aux dessous de doña Inès, je vous laisse les imaginer, ici par exemple !
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1 commentaire:
Olé !! de l'art de prendre de l'altitude, mais entre balcons et tétons, le risque n'est-il pas d'avoir le vertige tout simplement ?
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