71 : les parisiens (6) : péniches

[dans la lumière dorée du matin froid ...]

[... elles se réchauffent les unes les autres]

[d'autres s'isolent]

[une marseillaise fend les flots]

[savoir viser entre les piles !]

[la monique à la poupe]

[mystère de son nom]

[qui est l'autre ?]

[maquillage de fête]

[sauve-toi vite la fille !]

[sauve-toi vite les pigeons !]

[suite => les parisiens (7) : les quais]

5 commentaires:

Anonyme a dit…

Monique a l'air d'être une chouette péniche, un peu rétro, un peu bucolique...

Anonyme a dit…

Mon palmares :
-lumière dorée... 18/20
-marseillaise...... 18/20
-Linquenda........ 20/20
-Sauve-toi......... 19/20
-D'autres s'isol.. 8/20
-Les autres.... 16/17 en moyenne.
Bravo !

Jean et Mathilde a dit…

Pendant que sa mère s'extasie et se demande une fois encore ce qu'elle est venue faire dans cette galère (vu que les péniches n'existaient pas à cette époque), Irène, après avoir jeté un sourcil sur les photos de son grand-oncle, s'en fout, baille aux corneilles et balance ses jouets par terre...
Aucune poésie, cette enfant !

Anonyme a dit…

vraiment GÉNIAL!

Anonyme a dit…

quelles merveilles, mais sur aucun de tes ponts n'apparait la lettre impériale N, le lettre qui dit "non" au temps, que Paris et son fleuve vivent toujours ; fluctuat nec mergitur Bravo